Et dans quelques semaines, le Coronavirus sera vaincu.
Et dans quelques semaines, tout recommencera-t-il comme avant ?
Cet épisode Coronavirus n’est-il pas en fin de compte l’opportunité historique de changer durablement nos comportements ?
Pour passer un palier déterminant dans la transition écologique.
La planète n’aura sans doute pas été aussi propre ces jours ci depuis longtemps.
Devant le danger, nous acceptons de nous adapter :
- Moins de déplacements,
- Généralisation du télétravail,
- Plus de solidarité autour de soi,
- La consommation change aussi, on fait moins les difficiles.
La concentration sur des valeurs plus fondamentales est là, parce qu’il en va de notre santé, de notre vie, de celles de nos proches, mais en fin de compte de celles de tous.
Que ne serait-on pas prêts à abandonner pour se sentir sécurisés face à ce virus invisible ?
Ces efforts, contraints mais finalement acceptés (a-t-on le choix ?), pour passer cette période et éloigner les risques encourus, ces efforts ne peuvent-ils pas être prolongés pour éloigner durablement le désastre écologique en cours ?
Les priorités de chacun, les priorités des Etats, les priorités des gouvernements ont changé drastiquement, radicalement, en très peu de temps, et de manière violente.
C’est un microscopique virus invisible qui en est à l’origine.
Pourquoi ces priorités ne pouvaient-elles pas changer aussi radicalement face au réchauffement climatique, lequel tue sans doute autant, dans le monde, sinon plus que ce maudit virus ?
C’est le moment de changer, de revendiquer d’autres priorités, d’autres comportements, d’autres mesures, de se payer un autre mode de vie.
Vous qui lisez cette tribune, modeste contribution, réagissez, et partagez des propositions d’actions, des suggestions sur ce site, likez celles qui vous semblent pertinentes dans votre vie de tous les jours, dans le fonctionnement de l’entreprise, de la vie administrative et sociale.
Partagez largement avec vos amis.
Biovallée fera suivre à ceux qui sont en charge.
L’Avenir nous appartient, maitrisons le.
Philippe Huyghe
Président de l’Association Biovallée
Je suis du même avis.
Malheureusement, il y a l’argument passe-partout : l’emploi !
Là, on n’y peut plus rien, ce serait asocial et notre « niveau de vie » serait en péril.
Alors, « sauvons » les compagnies aériennes et de croisière, les constructeurs d’automobiles…
P.S.: Biovallée non-plus, ne me fera utiliser ni Facebook, ni Twitter – ainsi je suis dispensé de les critiquer.
Bonsoir André, merci pour votre réaction !
Nous ne sommes pas non plus « pro-facebook … »
Notre usage de facebook, twitter etc. vise principalement à faire connaitre à relayer les initiatives locales à celles et ceux qui utilisent ces outils.
Presque tous les contenus diffusés sur ces réseaux le sont avant tout sur ce site internet et, bonne nouvelle, nous développons en ce moment notre propre « réseau social » : https://biovallee.letsco.co
Nous nous appuyons sur cet outil pour construire des réponses locales et collectives.
Au plaisir de vous lire !
Tao