L’équipe salariée de l’association Biovallée est partie en séminaire au refuge de la Tour de Borne mi-septembre : l’occasion de renforcer les liens au sein de la nouvelle équipe, d’aborder le sujet du bien être au travail et des besoins de chacun.
Enfin septembre !
L’équipe attendait ces deux jours avec impatience : pour le plaisir de sortir de ses locaux de l’association à Eurre, de parcourir ce territoire pour lequel chacun et chacune s’engage au quotidien mais également de partager du temps informel et mieux se connaître.
En effet, cette année, trois nouvelles personnes ont rejoint l’équipe salariée de l’association Biovallée, soit un renouvellement d’une moitié.
Avec le changement de direction fin 2022 et la prise de poste de Yannick Régnier, c’est une toute nouvelle aventure qui commence pour la structure.
Après le séminaire qui a réuni le conseil d’administration en mars et permis la définition de nouvelles orientations stratégiques, c’était au tour de l’équipe salariée de se retrouver pour définir ses communs d’équipe.
J1 : des valeurs communes et des besoins exprimés
C’est autour d’animations sur les valeurs et besoins de chacun que s’est structurée la première journée du séminaire, depuis la toute nouvelle terrasse du refuge de la Tour de Borne (hameau de Glandage), avec une vue magnifique sur les crêtes du Jocou.
Pierre Georgin, responsable de projet Ecologie industrielle et territoriale, a ouvert le bal en animant un atelier dont l’objectif était de s’assurer que les valeurs de chacun et chacune nourrissent celles défendues par l’association, et vice versa : l’ouverture, l’exploration, l’écoute, l’harmonie, prendre soin, rendre service…
Puis, Noémie Gaillard, chargée de mission vie associative et jeunesse, a pris le relai et animé un atelier autour des besoins au travail. L’objectif : veiller à ce que les conditions de travail répondent aux besoins de chacun, pour un souci évident d »être bien au travail mais aussi d’efficacité dans sa mission.
Pour conclure, Noémie a choisi de sonder l’équipe sur la façon dont chacun et chacune vivait au quotidien l’immersion dans des thématiques potentiellement anxiogènes liées aux crises auxquelles notre monde fait face.
Nous vous invitons à découvrir le texte, lu pendant l’atelier, dont elle est l’auteure.
J2 : la mobilité douce en Biovallée, à l’épreuve
Au programme de la seconde journée, l’équipe a décidé de laisser la voiture au parking et de prendre le temps de rentrer à Crest à pied, en stop, par la rivière…
Le temps de flâner, de croiser du monde et de s’improviser artistes en Land Art !
